Face au nouveau pouvoir syrien, les Occidentaux temporisent, la Turquie et le Qatar cherchent à établir le contact, la Russie veut limiter la casse
Si la chute de Bachar Al-Assad a été largement saluée, les Occidentaux, soucieux de voir clarifiées les intentions du HTC, restent prudents, quand Ankara se réjouit et Doha propose de rouvrir son ambassade à Damas. Le Kremlin, lui, tente de ménager ses intérêts sur le territoire syrien.