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Le Vélodrome a fait chavirer le coeur d’Aubameyang dans tous les sens du terme

L’attaquant de l’Olympique de Marseille, Pierre-Emerick Aubameyang est revenu sur ses difficultés en première partie de saison. Il affirme que les sifflets du Vélodrome ont été difficiles à vivre au début.

« Je n’avais jamais connu une telle impatience. Ça a été dur, surtout par rapport à ma famille, notamment mon fils le plus grand qui comprend mieux la situation. À l’école, il doit se faire chambrer et il ne le vit pas forcément bien. Le moment qui m’a le plus touché, c’est le jour où je me suis fait siffler ici à domicile (contre Lille 0-0 le 5 novembre, ndlr). Ça m’a foutu les boules quand je suis rentré chez moi et que j’ai vu ma mère qui était triste. (…) Ç’a été le déclic dans ma saison. J’ai commencé à jouer avec la rage, presque avec la haine. J’ai la chance encore de les avoir, mes parents, toute ma famille, alors il faut bosser pour eux. Ma mère vient aux matchs, donc elle vit pleinement la situation. Là, quand on rentre à la maison, elle sourit. Et il n’y a rien de mieux que de voir sa maman sourire », a raconté Aubameyang pour L’Equipe ce jeudi.

Aubameyang sera très attendu ce jeudi soir en demi-finale aller de l’Europa League contre l’Atalanta Bergame. Il aura pour mission de faire chavirer le peuple marseillais et permettre à son équipe d’aborder le match retour avec un résultat favorable dans l’optique de la qualification pour la finale de l’Europa League dans quelques semaines…

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