World News

JO Paris 2024, Lucie Castets, Céline Dion... Ce qu'il faut retenir de l'interview d'Emmanuel Macron

JO Paris 2024, Lucie Castets, Céline Dion... Ce qu'il faut retenir de l'interview d'Emmanuel Macron

Les Jeux olympiques de Paris 2024, et notamment l'éventuelle présence de Céline Dion à la cérémonie d'ouverture, le nom proposé par le NFP pour Matignon... Voici ce qu'il faut retenir de l'interview d'Emmanuel Macron sur France 2 et franceinfo, ce mardi 23 juillet.

Matignon : "La question n'est pas un nom"

Emmanuel Macron a martelé mardi que le Nouveau Front populaire n'avait "pas de majorité" à l'Assemblée, rejetant de facto la proposition de la gauche de nommer sa candidate, Lucie Castets, à Matignon.

"Il est faux de dire que le Nouveau Front populaire aurait une majorité, quelle qu'elle soit", a dit le président sur France 2, France Inter et franceinfo. "La question n'est pas un nom. La question, c'est quelle majorité peut se dégager à l'Assemblée pour qu'un gouvernement de la France puisse passer des réformes, passer un budget et faire avancer le pays", a-t-il ajouté.

La démission inenvisageable

Le président a écarté l’hypothèse d’une démission et assuré qu’il tiendra son mandat de président de la République "dans sa plénitude".

Mon souhait, c'est de la stabilité pour le pays. J'ai décidé de cette dissolution, en mon âme et conscience, avec beaucoup de gravité, parce que l'Assemblée ne correspondait plus à la société et qu'une majorité avait annoncé qu'elle ferait une motion de censure à l'automne.

RN absent du bureau de l'Assemblée : "pas une bonne chose"

Le président a estimé que ce n'était "pas une bonne chose" que le Rassemblement national ne soit pas représenté au bureau de l'Assemblée nationale, car ses élus ont "une légitimité" et "il n'y a pas de sous-député".

Il s'est aussi dit "choqué" par les images des députés de gauche qui ont refusé de serrer la main au benjamin de l'Assemblée, élu RN, qui veillait au bon déroulement du scrutin pour le perchoir comme le veut le règlement.

JO : "On verra tous à partir de vendredi soir pourquoi ça valait la peine"

"On verra tous à partir de vendredi soir pourquoi ça valait la peine", a assuré mardi Emmanuel Macron, à trois jours de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris dont il a estimé qu'elle serait "unique".

"Il y a un défi sécuritaire et c'est vrai pour toutes les capitales qui organisent des Jeux. C'est vrai pour cette cérémonie d'ouverture. Ce sera vrai tout le long des Jeux", a-t-il poursuivi, en faisant valoir qu'"on a besoin de se réunir autour d'une France qui accueille le monde".

Céline Dion à la cérémonie d'ouverture ? "Une formidable nouvelle"

"Ce serait une formidable nouvelle" si Céline Dion, arrivée à Paris, était à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques vendredi, "parce que c'est une immense artiste", a déclaré mardi Emmanuel Macron alors que les spéculations sur la participation de la star canadienne vont bon train.

"Je serai immensément heureux si elle pouvait être de cette cérémonie d'ouverture, comme tous nos compatriotes", a dit le président français, sans toutefois vouloir "dévoiler" les "surprises" prévues par le spectacle sur la Seine concocté par Thomas Joly.

Les athlètes israéliens "sont les bienvenus"

Le président français a estimé que "les athlètes israéliens" étaient "les bienvenus" aux JO de Paris et qu'ils devaient "pouvoir concourir sous leurs couleurs".

Emmanuel Macron réagissait aux propos d'un député de gauche qui avait affirmé le contraire samedi et après ceux du Comité olympique palestinien qui a réclamé l'exclusion des athlètes israéliens. "Les athlètes israéliens sont les bienvenus à ces Jeux", a-t-il déclaré, ajoutant : "On ne fait pas de politique avec les Jeux".

Читайте на 123ru.net