Amadou Ba dans le Kabada : «Rendez service à Sonko, ramenez le dans l’opposition…»
En partance pour Nioro du RIP, la caravane du Président Amadou Ba, s’est arrêtée dans le Kabada (département de Boubkiling) où une forte mobilisation, pourtant imprévue, lui a imposé une halte. Un rassemblement donc spontané des populations locales qui n’a rien à envier aux meetings planifiés et organisés.
Ici, une foule impressionnante à travers laquelle la rame de voitures se faufile, pour faire place à la sono et à la bolide du Président Ba, visiblement heureux de tomber sur cette masse humaine, décidée à intervertir les rôle entre Jamm ak Njarin et le Pastef.
L’ancien Premier ministre a d’ailleurs bien saisi le message. Lui qui déclare durant sa prise de parole «qu’Ousmane Sonko est un éternel opposant. On va l’y ramener parce que c’est ce qu’il connaît. Pour lui rendre service, donner la majorité à Jamm ak Njarin afin qu’elle mette en œuvre des politiques publiques adéquates pour sortir le pays de l’ornière».
En tout cas, le leader de la Nouvelle Responsabilité est convaincu que cette mobilisation inattendue dans le Kabada démontre que les populations «souhaitent que le pays soit géré d’une manière différente de celle du Pastef». Une politique du verbiage, du bavardage et du libre propos, alors qu’aucun acte concret, aucune initiative, aucune réalisation ne portent la signature du pouvoir en place. «Ils ne font que parler. Même pas une case n’a été inaugurée depuis sept mois».
L’ancien Premier ministre a d’ailleurs bien saisi le message. Lui qui déclare durant sa prise de parole «qu’Ousmane Sonko est un éternel opposant. On va l’y ramener parce que c’est ce qu’il connaît. Pour lui rendre service, donner la majorité à Jamm ak Njarin afin qu’elle mette en œuvre des politiques publiques adéquates pour sortir le pays de l’ornière».
En tout cas, le leader de la Nouvelle Responsabilité est convaincu que cette mobilisation inattendue dans le Kabada démontre que les populations «souhaitent que le pays soit géré d’une manière différente de celle du Pastef». Une politique du verbiage, du bavardage et du libre propos, alors qu’aucun acte concret, aucune initiative, aucune réalisation ne portent la signature du pouvoir en place. «Ils ne font que parler. Même pas une case n’a été inaugurée depuis sept mois».