« Soft power », diplomatie institutionnelle et diplomatie participative : les trois pouvoirs de l'influence française
OPINION. Face aux défis actuels, l'influence de la France repose sur un équilibre subtil : le Président initie les grandes orientations du « soft power », incarnant les valeurs françaises sur la scène internationale, tandis que le Premier ministre déploie une diplomatie institutionnelle. Aux côtés de l'exécutif, la société civile incarne un troisième pouvoir, contribuant par sa force participative à ancrer l'influence française dans une dynamique collective. Par Véronique Chabourine, Analyste « soft power »