Transhumance À Nabadji Civol : 56 conseillers au front pour la destitution de Abdoulaye Sali Sall, un maire perdant des législatives
Tribune- Abdoulaye Sali Sall, le maire de Nabadji Civol qui a transhumé de l’Alliance de la République vers Pastef et qui a été battu à plat ventre lors des législatives du 17 novembre dernier est dans la ligne de mire de 56 conseillers qui ont décidé de le destituer de son fauteuil de maire de la commune.
À Nabadji Civol dans la région de Matam, le maire Abdoulaye Sali Sall est dans la ligne de mire des conseillers municipaux qui ont décidé de le destituer de son poste. Les 56 conseillers sur les 70 que compte la commune de Nabadji font plusieurs reproches au maire qui a perdu le soutien de 4 adjoints parmi les 6 de la collectivité locale.
Dans une des reproches faites au maire Sall, les 56 conseillers lui en veulent de s’être attaqué à Farba Ngom. Pour les détracteurs d’Abdoulaye Sali Sall, Farba Ngom n’a rien commis si ce n’est comprendre très tôt que la politique ne peut être faite de promesses mais plutôt d’actes en faveur des populations dans le besoin.
En colère contre leur maire, les conseillers de Nabadji lui font savoir qu’ils ne sont pas un bétail électoral. Mieux pour ces responsables politiques, ils révèlent qu’Abdoulaye Sali Sall tente de justifier sa défaite par le manque de moyens aux législatives. Un handicap qu’il impute à Pastef qui ne lui a pas donné de moyens.
Toujours selon les adversaires du maire Sall, « ce dernier faisant parler son subconscient a déclaré qu’au Fouta, c’est l’argent qui fait gagner les élections ».
Or, selon les mêmes conseillers, « depuis 12 ans qu’il est à la tête de la commune de Nabadji, il n’a rien fait pour les populations qui lui ont définitivement tourné le dos ». Il est également reproché au maire Abdoulaye Sali Sall présenté comme un transhumant de la 25 ème heure son absentéisme.
Autrement dit « il ne s’est pas présenté depuis son installation le 14 février 2022, à la mairie pour y présider une quelconque séance délibérante ». Nabadji les conseillers qui montent au créneau contre l’édile renseignent que la mairie n’a pas de secrétaire municipal, les comptes administratifs ne sont pas contrôles et les opérations domaniales suspendues malgré une forte demande de la population ».
À les en croire, le maire de Nabadji n’a aucune compassion pour les jeunes, les femmes et les étudiants de la localité.
Dans une des reproches faites au maire Sall, les 56 conseillers lui en veulent de s’être attaqué à Farba Ngom. Pour les détracteurs d’Abdoulaye Sali Sall, Farba Ngom n’a rien commis si ce n’est comprendre très tôt que la politique ne peut être faite de promesses mais plutôt d’actes en faveur des populations dans le besoin.
En colère contre leur maire, les conseillers de Nabadji lui font savoir qu’ils ne sont pas un bétail électoral. Mieux pour ces responsables politiques, ils révèlent qu’Abdoulaye Sali Sall tente de justifier sa défaite par le manque de moyens aux législatives. Un handicap qu’il impute à Pastef qui ne lui a pas donné de moyens.
Toujours selon les adversaires du maire Sall, « ce dernier faisant parler son subconscient a déclaré qu’au Fouta, c’est l’argent qui fait gagner les élections ».
Or, selon les mêmes conseillers, « depuis 12 ans qu’il est à la tête de la commune de Nabadji, il n’a rien fait pour les populations qui lui ont définitivement tourné le dos ». Il est également reproché au maire Abdoulaye Sali Sall présenté comme un transhumant de la 25 ème heure son absentéisme.
Autrement dit « il ne s’est pas présenté depuis son installation le 14 février 2022, à la mairie pour y présider une quelconque séance délibérante ». Nabadji les conseillers qui montent au créneau contre l’édile renseignent que la mairie n’a pas de secrétaire municipal, les comptes administratifs ne sont pas contrôles et les opérations domaniales suspendues malgré une forte demande de la population ».
À les en croire, le maire de Nabadji n’a aucune compassion pour les jeunes, les femmes et les étudiants de la localité.