Journée Mondiale De La Pêche La CAPS sensibilise sur l’émigration irrégulière et la préservation de la ressource
À l’occasion de la Journée mondiale de la pêche, célébrée ^jeudi, la Coalition des acteurs de la pêche du Sénégal (CAPS) a organisé une rencontre à Rufisque, réunissant divers intervenants du secteur. Selon le quotidien Tribune qui relaie l’info, placé sous le thème « La lutte contre l’émigration irrégulière et la préservation de la ressource », cet événement a été l’occasion pour les acteurs de réitérer leurs engagements et d’interpeller les autorités.
La surpêche et le climat au cœur des préoccupations
Boucar Diouf, secrétaire général de la CAPS, a mis en avant les défis liés à la préservation des ressources halieutiques. « La CAPS a toujours dénoncé la surpêche pratiquée sur nos côtes. Le réchauffement climatique et la pêche illicite sont également des facteurs majeurs de destruction des ressources halieutiques », a-t-il déclaré. Selon lui, la coalition, en collaboration avec les autorités étatiques, contribue activement à la lutte contre la pêche illégale et œuvre pour une exploitation durable des ressources marines.
Des actions concrètes pour préserver l’écosystème marin
En 2021, sous la présidence d’Alioune Thiam, la CAPS a notamment fait don d’une épave de navire, immergée pour servir d’habitat artificiel aux poissons. « Nous avons également participé, malgré nos faibles moyens, à des programmes d’immersion de peaux à poulpe dans plusieurs quais de pêche », a ajouté Boucar Diouf. Ces initiatives traduisent, selon lui, l’engagement constant de la CAPS en faveur de la préservation des ressources marines.
Recréer l’espoir pour contrer l’émigration irrégulière
Abordant la problématique de l’émigration irrégulière, le secrétaire général a souligné l’importance d’une gestion durable des ressources pour offrir des opportunités aux jeunes. « Si la mer retrouve son éclat d’antan, cela encouragera les jeunes à rester au pays », a-t-il estimé. La CAPS plaide ainsi pour une surveillance accrue des côtes et une gouvernance transparente dans la gestion des activités de pêche.
Un satisfecit pour les actions gouvernementales
Boucar Diouf a salué les récentes mesures prises par les autorités, notamment la publication de la liste des navires autorisés à pêcher dans les eaux sénégalaises. « C’était une vieille revendication désormais satisfaite », a-t-il souligné. Par ailleurs, la CAPS s’est réjouie de la décision des nouvelles autorités de ne pas renouveler les accords de pêche avec l’Union européenne. Une démarche perçue comme un pas important vers une gestion plus souveraine et durable des ressources halieutiques.
La CAPS entend poursuivre son engagement pour une pêche responsable et durable, tout en restant vigilante sur les politiques publiques du secteur.
Boucar Diouf, secrétaire général de la CAPS, a mis en avant les défis liés à la préservation des ressources halieutiques. « La CAPS a toujours dénoncé la surpêche pratiquée sur nos côtes. Le réchauffement climatique et la pêche illicite sont également des facteurs majeurs de destruction des ressources halieutiques », a-t-il déclaré. Selon lui, la coalition, en collaboration avec les autorités étatiques, contribue activement à la lutte contre la pêche illégale et œuvre pour une exploitation durable des ressources marines.
Des actions concrètes pour préserver l’écosystème marin
En 2021, sous la présidence d’Alioune Thiam, la CAPS a notamment fait don d’une épave de navire, immergée pour servir d’habitat artificiel aux poissons. « Nous avons également participé, malgré nos faibles moyens, à des programmes d’immersion de peaux à poulpe dans plusieurs quais de pêche », a ajouté Boucar Diouf. Ces initiatives traduisent, selon lui, l’engagement constant de la CAPS en faveur de la préservation des ressources marines.
Recréer l’espoir pour contrer l’émigration irrégulière
Abordant la problématique de l’émigration irrégulière, le secrétaire général a souligné l’importance d’une gestion durable des ressources pour offrir des opportunités aux jeunes. « Si la mer retrouve son éclat d’antan, cela encouragera les jeunes à rester au pays », a-t-il estimé. La CAPS plaide ainsi pour une surveillance accrue des côtes et une gouvernance transparente dans la gestion des activités de pêche.
Un satisfecit pour les actions gouvernementales
Boucar Diouf a salué les récentes mesures prises par les autorités, notamment la publication de la liste des navires autorisés à pêcher dans les eaux sénégalaises. « C’était une vieille revendication désormais satisfaite », a-t-il souligné. Par ailleurs, la CAPS s’est réjouie de la décision des nouvelles autorités de ne pas renouveler les accords de pêche avec l’Union européenne. Une démarche perçue comme un pas important vers une gestion plus souveraine et durable des ressources halieutiques.
La CAPS entend poursuivre son engagement pour une pêche responsable et durable, tout en restant vigilante sur les politiques publiques du secteur.