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Au procès de l’assassinat de Samuel Paty, le double visage d’une accusée de la « djihadosphère »

« Je ne pouvais pas imaginer qu’il pourrait faire une telle chose.», a affirmé Priscilla Mangel mercredi 11 décembre à la cour d’assises de Paris. Trois jours avant l’attentat, cette trentenaire avait échangé des messages avec le terroriste. « Calme» et musulmane «modérée» dans la vie, elle pouvait tenir des propos radicaux sur les réseaux sociaux.

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