Diomaye Faye séduit Samba Diouldé Thiam
Le discours du président de la République à Thiès, fera date. Un homme a été particulièrement séduit par Bassirou Diomaye Faye. C’est le très respecté Samba Diouldé Thiam. L’ancien ministre est sorti de sa réserve avec son khalam, pour faire du vrai riti –il n’est pas haal pulaar pour rien- au chef de l’Etat.
« J’ai lu le discours de notre Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye à Thiès. Tout dans ce beau et dense texte est à considérer avec attention et approfondissement. Je n’appartiens pas à PASTEF, ce qui n’est pas un mystère. J’ai écouté un président de la République qui m’apparaît avoir été à la hauteur des attentes de notre peuple, sur cette question de l’unité. Je n’ai pas écouté aujourd’hui un charmeur de serpents ou un père Noël tropicalisé. Je suis en symbiose avec tout son texte, que je résume en le citant : « Continuer à faire patrie, c’est renforcer la perspective de l’unité à partir de toutes les sources qui alimentent la mémoire nationale, faite de sa diversité. Il reste à en voir la traduction concrète et cohérente dans votre guidance, Monsieur le président de la République, dans les actes et comportements de votre gouvernement. J’ajouterai que la mémoire nationale doit se lire dans la politique nationale concrète de toutes les étapes du cheminement des vivants, pour arriver, enrichie, aux héritiers qui viendront. Lourde responsabilité dont seul un leadership puissant, empathique, calme et patient, peut accoucher. L’étincelle d’espérance, ne doit pas être aussi éphémère qu’une vie de papillon, attirée par une puissante source de lumière après une pluie d’hivernage », écrit Samba Diouldé Thiam. On a envie de danser le Wango.
Le Témoin
« J’ai lu le discours de notre Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye à Thiès. Tout dans ce beau et dense texte est à considérer avec attention et approfondissement. Je n’appartiens pas à PASTEF, ce qui n’est pas un mystère. J’ai écouté un président de la République qui m’apparaît avoir été à la hauteur des attentes de notre peuple, sur cette question de l’unité. Je n’ai pas écouté aujourd’hui un charmeur de serpents ou un père Noël tropicalisé. Je suis en symbiose avec tout son texte, que je résume en le citant : « Continuer à faire patrie, c’est renforcer la perspective de l’unité à partir de toutes les sources qui alimentent la mémoire nationale, faite de sa diversité. Il reste à en voir la traduction concrète et cohérente dans votre guidance, Monsieur le président de la République, dans les actes et comportements de votre gouvernement. J’ajouterai que la mémoire nationale doit se lire dans la politique nationale concrète de toutes les étapes du cheminement des vivants, pour arriver, enrichie, aux héritiers qui viendront. Lourde responsabilité dont seul un leadership puissant, empathique, calme et patient, peut accoucher. L’étincelle d’espérance, ne doit pas être aussi éphémère qu’une vie de papillon, attirée par une puissante source de lumière après une pluie d’hivernage », écrit Samba Diouldé Thiam. On a envie de danser le Wango.
Le Témoin