De New York à Berlin, les fêtards se couchent plus tôt qu’avant
On fait de moins en moins la fête jusqu’au bout de la nuit : c’est ce que montre le “Financial Times”, chiffres à l’appui. À Manchester, à Melbourne, ou même à New York, la ville qui ne dort jamais, le nombre de clubs offrant la possibilité de danser jusqu’à l’aube est en déclin. Le signe d’une évolution de la “culture club”.