« L’humour est une petite bombe, surtout dans les régimes autoritaires »
Dans « Soixante-dix fantômes », qui vient de paraître à La Fabrique, Nathalie Quintane dépeint, à travers l’enchaînement de microtableaux, l’intrusion du fascisme dans le quotidien. Son utilisation de l’absurde et de l’ironie propose une échappatoire à cette période angoissante.