Liberté d’expression ou devoir de loyauté ? Guillaume Meurice attaque Radio France aux prud’hommes pour contester son licenciement
L’humoriste a réclamé quelque 400 000 euros à son ancien employeur et demandé l’annulation de son licenciement au motif qu’il porterait « atteinte à sa liberté d’expression ». Il avait comparé deux fois Benyamin Netanyahou à un « nazi sans prépuce », ce qui lui avait valu une « faute grave ».