Louis-Albert Serrut, auteur et syndicaliste : « Quatre-vingts ans, délai de péremption de la mémoire ? »
Quatre-vingts ans, soit trois générations, des grands-parents aux petits-enfants, ce temps semble suffire pour que la mémoire s’efface et l’oubli s’installe.De la tentative réactionnaire-fasciste pour prendre par la force le pouvoir en 1934, le scénario se reproduit presque à l’identique aujourd’hui, sinon que cela passe par les urnes avec la duplicité du pouvoir macroniste, qui … Continued