Pas de trêve olympique sur les marchés financiers. Statu quo de la Fed aux Etats-Unis, hausse des taux directeurs au Japon, indicateurs d'activité et d'emploi décevants outre-Atlantique, crainte de récession... et un peu de fébrilité des opérateurs. Un cocktail qui a fait plonger les bourses mondiales, de Tokyo (-12% lundi avant un rebond de 10% le lendemain) à New York (-3,4 % sur le Nasdaq le 5 août). Pour Ludovic Subran, chef économiste du groupe Allianz, ce vent de panique est excessif. L'économie américaine reste solide. Читать дальше...