"Le simple fait qu'il vise le Mexique et le Canada, surtout le Canada, est simplement dingue. Il s'agit du plus proche et plus ancien allié des Etats-Unis, c'est un tout autre monde", s'alarme Petros Mavroidis, professeur à l'Université de Columbia, interrogé par l'AFP.
"Il prend le risque de se mettre à dos ses alliés", ajoute-t-il.
Les deux pays auraient pu s'estimer à l'abri: certes l'accord de libre-échange Canada-Etats-Unis-Mexique (USMCA) doit être revu à partir de l'année prochaine mais il avais été signé durant le premier mandat de M.