En Provence-Alpes-Côte d’Azur, les ménages consomment un peu moins de foncier pour leur habitat qu’ailleurs
Dans une étude intitulée « Un ralentissement de la consommation foncière résidentielle par ménage » publiée en novembre dernier, l’Insee relève que l’habitat recouvre les deux tiers du foncier occupé en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Une surface qui, lorsqu’elle est divisée par le nombre de ménages, figure à la deuxième place des plus faibles de France en raison, notamment, d’une forte densité de population. Parmi les principaux moteurs de la hausse de consommation de foncier : les évolutions démographiques mais aussi, plus qu'ailleurs, l'essor des résidences secondaires.