Maladies rénales: 850.000 personnes touchées au Sénégal
850.000 Sénégalais souffrent de maladies rénales. Le Professeur Abdou Niang, chef du service de néphrologie de l’hôpital Dalal Jamm, a peint un tableau sombre hier, lors du lancement de la dialyse péritonéale du service de néphrologie de l’hôpital Dalal Diam. Le Professeur Abdou Niang a rappelé que l’insuffisance rénale est devenue un véritable problème de santé publique dans le monde.
L’hôpital Dalal Jamm diversifie ainsi la prise en charge des personnes atteintes d’insuffisance rénale et apporte une réponse à la contrainte des attentes des patients pour la dialyse. Selon le Professeur Niang, une personne sur 10 souffre de maladie rénale dans le monde, ce qui fait 850.000.000 de personnes atteintes sur les 8 milliards que compte l’humanité. « Au Sénégal, nous sommes à 850.000 de personnes qui souffrent de maladie rénale », a révélé le néphrologue. Il a également fait savoir que « ce qui pose problème chez nous, c’est que la maladie est diagnostiquée en phase terminale».
A la vérité, en cas de retard de diagnostic, les complications augmentent. Aujourd’hui, il y a moins de 20 % des malades qui ont accès à la dialyse. « Malheureusement, quand vous n’avez pas accès à la dialyse au stade terminal de la maladie, l’évolution est fatale. Il faut travailler sur la prévention, dans ce cas de figure, réduire l’incidence de la maladie dans la population », a conseillé le néphrologue. Il y a trois solutions, d’après Pr. Abdou Niang. Il s’agit de l’hémodialyse pratiquée au Sénégal depuis 1987, suivie de la dialyse péritonéale, qui existe depuis une vingtaine d’années et enfin, la transplantation rénale».
« Nous avons une liste d’attente de plus de 2 500 malades. Au moment où nous vous parlons, nous avons 1 092 malades qui sont traités dans les structures publiques. Ce qui fait un gap énorme. Pour trouver des solutions, nous avons pensé à la dialyse péritonéale, qui nécessite tout simplement des locaux et des consommables», a-t-il indiqué, rapporte "Le Témoin".
L’hôpital Dalal Jamm diversifie ainsi la prise en charge des personnes atteintes d’insuffisance rénale et apporte une réponse à la contrainte des attentes des patients pour la dialyse. Selon le Professeur Niang, une personne sur 10 souffre de maladie rénale dans le monde, ce qui fait 850.000.000 de personnes atteintes sur les 8 milliards que compte l’humanité. « Au Sénégal, nous sommes à 850.000 de personnes qui souffrent de maladie rénale », a révélé le néphrologue. Il a également fait savoir que « ce qui pose problème chez nous, c’est que la maladie est diagnostiquée en phase terminale».
A la vérité, en cas de retard de diagnostic, les complications augmentent. Aujourd’hui, il y a moins de 20 % des malades qui ont accès à la dialyse. « Malheureusement, quand vous n’avez pas accès à la dialyse au stade terminal de la maladie, l’évolution est fatale. Il faut travailler sur la prévention, dans ce cas de figure, réduire l’incidence de la maladie dans la population », a conseillé le néphrologue. Il y a trois solutions, d’après Pr. Abdou Niang. Il s’agit de l’hémodialyse pratiquée au Sénégal depuis 1987, suivie de la dialyse péritonéale, qui existe depuis une vingtaine d’années et enfin, la transplantation rénale».
« Nous avons une liste d’attente de plus de 2 500 malades. Au moment où nous vous parlons, nous avons 1 092 malades qui sont traités dans les structures publiques. Ce qui fait un gap énorme. Pour trouver des solutions, nous avons pensé à la dialyse péritonéale, qui nécessite tout simplement des locaux et des consommables», a-t-il indiqué, rapporte "Le Témoin".