Grève des contrôleurs aériens, fin de carrière des cheminots: «C'est un scandale!»
L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Les 21 millions de salariés du privé se sentent à juste titre bien moins lotis que les privilégiés du train et les contrôleurs du ciel.
L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Les 21 millions de salariés du privé se sentent à juste titre bien moins lotis que les privilégiés du train et les contrôleurs du ciel.