Début du tournoi vendredi
Même si le processus est rôdé, chaque année apporte son lot de surprises et de nouveautés. Organisation sportive des différentes épreuves, création des supports de communication (affiche, plaquette…), recherche de subventions et de sponsors, gestion des achats et des approvisionnements, entretien des terrains et des installations, constitution de l’équipe en charge de la buvette, préparation des animations, formation des jeunes ramasseuses et ramasseurs de balles pour les finales, relations avec la Ligue pour la mise à disposition d’arbitres officiels…
5.700 € de prixLa liste est longue et le président, Michel Albert, se félicite d’avoir autour de lui de nombreux bénévoles enthousiastes pour préparer l’événement. L’expérimenté Roger Maneveau officiera pour la cinquième année consécutive comme juge-arbitre du tournoi. Il table sur, a minima, 250 participants dont au moins cinquante joueuses dans le tableau féminin sachant que le président aimerait atteindre une présence record de soixante joueuses, 130 joueurs dans le tableau masculin, entre vingt-cinq et trente dans l’épreuve réservée aux plus de 45 ans messieurs, et cinquante à soixante jeunes du bassin montluçonnais entre 12 et 18 ans dans les épreuves jeunes.
L’AS Néris Tennis, très attachée au développement du tennis féminin, souhaite mettre en avant l’épreuve féminine, inscrite au circuit national des grands tournois. On attend donc des joueuses de niveau national, voire international dans le tournoi de tennis féminin le plus relevé de la saison d’été en Auvergne.
L’épreuve messieurs sera également très disputée avec des joueurs attendus parmi les 150 meilleurs Français. 5.700 € de prix seront attribués au total entre les dames et les messieurs. Le club a pu compter sur le soutien financier de la mairie de Néris-les-Bains, le Département et la Région ainsi que tous les sponsors privés qui accompagnent cette manifestation.
Rendez-vous pour le top départ vendredi 28 juin, « en espérant que les conditions climatiques seront favorables », conclut Michel Albert.