Démantèlement de deux sites d'orpaillage à Saraya : 20 arrestations
Après le démantèlement du site d'orpaillage clandestin de Bokhodi la semaine dernière, les éléments de l'rmée ont mis fin aux activités d'extraction illicite de substances minérales et d'altération du domaine forestier dans les sites d’orpaillage clandestins de Ségoto et de Diégoug (département de Saraya), informe Seneweb.
Ces opérations, qui ont pour but de lutter contre l’éclosion des organisations extrémistes violentes, la grande criminalité et aussi la pollution du fleuve par les produits dérivés des sites d’orpaillage tels que le mercure et le cyanure, entrent dans le cadre de l'opération Sentinelle-Est. Une opération initiée par l'armée sénégalaise depuis février.
Ces sites qui abritent des centaines d’individus, dont la majorité est originaire du Mali et du Burkina, se sont vidés de leurs occupants à la vue des voitures.
Beaucoup d’orpailleurs clandestins ont réussi à traverser la Falémé pour se retrouver au Mali. Toutefois, au cours de l’opération, une vingtaine d’individus ont été arrêtés et remis entre les mains de la justice. Le bilan du matériel saisi fait état de 30 groupes électrogènes, 24 marteaux-piqueurs, 15 panneaux solaires, 4 tricycles et beaucoup de huttes appelées « niafa », servant d’abris provisoires détruites sur place par les militaires.
Ces opérations, qui ont pour but de lutter contre l’éclosion des organisations extrémistes violentes, la grande criminalité et aussi la pollution du fleuve par les produits dérivés des sites d’orpaillage tels que le mercure et le cyanure, entrent dans le cadre de l'opération Sentinelle-Est. Une opération initiée par l'armée sénégalaise depuis février.
Ces sites qui abritent des centaines d’individus, dont la majorité est originaire du Mali et du Burkina, se sont vidés de leurs occupants à la vue des voitures.
Beaucoup d’orpailleurs clandestins ont réussi à traverser la Falémé pour se retrouver au Mali. Toutefois, au cours de l’opération, une vingtaine d’individus ont été arrêtés et remis entre les mains de la justice. Le bilan du matériel saisi fait état de 30 groupes électrogènes, 24 marteaux-piqueurs, 15 panneaux solaires, 4 tricycles et beaucoup de huttes appelées « niafa », servant d’abris provisoires détruites sur place par les militaires.