EN DIRECT - Législatives : Gérard Larcher plaide pour le maintien de Gabriel Attal à Matignon jusqu'en septembre
Les réactions politiques s'enchaînent ce jeudi 11 juillet après qu'Emmanuel Macron a écrit une lettre aux Français mercredi, dans laquelle il estime que "personne ne l'a emporté" lors des législatives.
L'ESSENTIEL L'opposition a vivement critiqué la lettre d'Emmanuel Macron, dans laquelle il appelle au "rassemblement des forces républicaines". Les forces de gauche tentent toujours de s'accorder sur un Premier ministre, estimant avoir la légitimité pour entrer à Matignon.EN DIRECT
9 h 50 | Ce qu'il faut retenir de la lettre d'Emmanuel Macron
Le président de la République est sorti du silence en écrivant une lettre aux Français, mercredi 10 juillet, qui a fait vivement réagir. Ce qu'il faut retenir.
9 h 40 | Le Nouveau Front populaire remonté contre Macron
"C'est le retour du droit de veto royal sur le suffrage universel !", a estimé Jean-Luc Mélenchon sur X. Marine Tondelier, secrétaire nationale des Écologistes-EELV, s'est, elle-aussi, fendue d'un tweet acerbe : "son déni abîme le pays et la démocratie".
"Qu'il arrête d'éviter le résultat des urnes", s'est indiqué le chef du parti communiste, Fabien Roussel, sur LCI. "Le président de la République doit respecter son devoir de républicain, respecter le suffrage universel et respecter le vote des Français", a réclamé Olivier Faure.
9 h 25 | La CGT appelle à manifester le 18 juillet
La CGT appelle à un rassemblement devant l'Assemblée nationale et les préfectures, le jeudi 18 juillet prochain, afin d'exiger "le respect des urnes", selon le communiqué diffusé sur X.
— CGT Cheminots (@cgtcheminots) July 10, 20249 h 20 | Gérard Larcher sur BFMTV
Gérard Larcher a eu rendez-vous mardi avec Emmanuel Macron. "J’ai plaidé pour que nous prenions du temps, que nous enjambions la période importante où nous accueillons le monde aux Jeux olympiques et paralympiques et qu’ensuite au début du mois de septembre soit engagé la phase qui est la conséquence de ces élections", explique l'actuel président Les Républicains du Sénat, invité de BFMTV-RMC.
Il précise qu'il compte "s'opposer" à un gouvernement du Nouveau Front populaire et qu'il appellera à le "censurer" s'il se forme. Pour lui, un Premier ministre de l'union des gauches "ne correspond pas à la volonté profonde des Français".
Son parti, Les Républicains, doit selon lui avoir une ligne indépendante, et "travailler texte par texte". "Le temps du Parlement est peut-être venu", suggère-t-il.
9 h 15 | Bonjour et bienvenue sur ce live
Suivez tout au long de la journée les dernières actualités politiques.