Affrontements à Sandaga : Deux blessés graves parmi les agents municipaux
La tension était vive ce jeudi au marché Sandaga, lors des opérations de déguerpissement. "Le Témoin" signale deux blessés graves. D’après le quotidien d’information, il s’agit de deux agents municipaux, qui ont reçu des coups de machettes, lors des affrontements sanglants avec les marchands ambulants, lt-on dans "Seneweb".
Ils ont été admis au poste de santé de Dakar-Plateau, poursuit le journal. Le maire Alioune Ndoye, qui s’est rendu à leur chevet, interpelle les autorités étatiques, indique celui-ci.
«Ce sont les blessés que je suis venu voir. Des blessés censés être protégés par les unités de la police sur place. J’attends la réaction des autorités. Deux parmi les blessés ont reçu des coups de machette», s’indigne-t-il, repris par la source.
L’ancien ministre sous le régime de Macky Sall, droit dans ses bottes, entend poursuivre les opérations de déguerpissement. « J’ai eu l’assurance que mes éléments peuvent continuer leur travail. C’est ma décision actuelle. Sauf si l’État nous notifie de façon officielle, que pour des raisons qui lui sont propres, il faut arrêter cela. Ce sera alors le plus grand poignard pointé dans le dos des habitants du Plateau », martèle l’édile.
Ils ont été admis au poste de santé de Dakar-Plateau, poursuit le journal. Le maire Alioune Ndoye, qui s’est rendu à leur chevet, interpelle les autorités étatiques, indique celui-ci.
«Ce sont les blessés que je suis venu voir. Des blessés censés être protégés par les unités de la police sur place. J’attends la réaction des autorités. Deux parmi les blessés ont reçu des coups de machette», s’indigne-t-il, repris par la source.
L’ancien ministre sous le régime de Macky Sall, droit dans ses bottes, entend poursuivre les opérations de déguerpissement. « J’ai eu l’assurance que mes éléments peuvent continuer leur travail. C’est ma décision actuelle. Sauf si l’État nous notifie de façon officielle, que pour des raisons qui lui sont propres, il faut arrêter cela. Ce sera alors le plus grand poignard pointé dans le dos des habitants du Plateau », martèle l’édile.