La gauche «victorieuse» avoue des connivences politico-médiatiques et tolère un racisme anti-blanc décomplexé
La France s’enfonce toujours plus loin dans l’abime racialiste
Quel spectacle désolant ! Compromissions, tripatouillages et magouilles à tous les étages. Et des hectolitres de moraline pour nous enrober tout ça. Représentants politiques, sportifs millionnaires, magistrats syndiqués et artistes subventionnés se sont plu à se faire peur en criant de concert au loup fasciste. Les médias aux ordres du pouvoir et l’audiovisuel public gauchisant ont déversé leurs mensonges et ignoré pareillement la vie des Français sacrifiés à leurs désirs sociétaux, diversitaires et immigrationnistes, en particulier ces Français de la France périphérique qu’ils méprisent, tous, de tout leur cœur.
Que la fête recommence !
L’affront républicain a parfaitement fonctionné. Nombre d’électeurs ayant voté pour Ensemble ou le NFP se plaindront d’ici peu du pouvoir d’achat continuant de dégringoler, de l’UE continuant d’imposer à la France ses diktats, de l’immigration continuant de nous submerger, de la désindustrialisation continuant de plonger le pays dans la dépendance économique et le chômage, des oukases écologiques retardant la relance du nucléaire ou promouvant la décroissance, etc. Nous leur rappellerons alors durement que, au nom d’un « barrage républicain » carnavalesque, ils ont voté pour des formations politiques ayant décrété que la France était bonne à jeter aux ordures. Européistes fédéralistes, davosiens mondialistes, écologistes radicalisés ou immigrationnistes, islamo-compatibles ou non, tous ne pensent qu’à désagréger notre pays. Pour ce faire, les uns ont choisi d’accélérer le remplacement de son peuple historique – comprenant les Français dits de souche aussi bien que des descendants d’immigrés parfaitement intégrés – en augmentant l’immigration sous tous les prétextes possibles, y compris le prétexte climatique. Les autres ont décidé de satisfaire les « élites » (financières, politiques, médiatiques, artistiques) dont ils se targuent ou envisagent de faire partie et qui sont à l’abri du besoin et des conséquences d’une immigration communautariste et islamisante. S’ajoutent à ces funestes motivations les marécageuses tractations nécessaires à la survie politique d’arrogants vieux chevaux centristes ou de dispensables éléphants socialistes et à l’émergence de nouveaux politicards professionnels, avides des privilèges que seule une République corrompue peut offrir d’une manière si dispendieuse.
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LFI est satisfaite. Il y a de quoi. Malgré un antisionisme antisémite de plus en plus brutalement affiché, malgré les violences staliniennes internes, malgré des propositions économiques plus démagogiques les unes que les autres, malgré des candidats flirtant avec un fascisme si souvent attribué au camp d’en face, le mouvement mélenchoniste a mis au pas ses « alliés » et a su tirer son épingle du jeu électoraliste. « Aujourd’hui, nous nous préparons à gouverner, nous nous préparons à appliquer le programme qui est le nôtre », assure Manuel Bompard. De son côté, l’apathique Olivier Faure justifie l’accord luciférien avec LFI et le NPA : le PS a doublé le nombre de ses députés, l’anesthésiant François Hollande est de retour, l’ex-ministre macroniste Aurélien Rousseau rentre au bercail. Ce dernier avoue sur son compte X devoir sa victoire aux castors des médias privés et publics : « Ma gratitude à la presse, je pense en particulier à la PQR, aux antennes de France bleue, et au journal Le Monde, mais aussi La Croix, Libé ou l’Humanité. Leur travail a été indispensable et à la hauteur de ce moment historique. Une presse libre et de très haut niveau (sic). » Une certaine connivence politico-médiatique est étalée sans vergogne au grand jour. Il est vrai que les médias français « libres » n’ont pas fait dans la demi-mesure pour « barrer la route à l’extrême droite ». Pour s’en convaincre, il suffit, par exemple, de comparer le traitement des informations visant les brebis galeuses du RN et celui concernant les antisémites, fichés S et autres barbouzes du NFP. Si l’on a les nerfs assez solides, on peut aussi réécouter la radio publique, France Inter en tête : quinze jours de messages plus ou moins subliminaux, d’éditoriaux politiques partisans, de journaux masquant les « faits divers » pouvant accréditer l’idée d’une insécurité grandissante, d’analogies historiques douteuses, etc. Du travail propagandiste d’orfèvre, digne de celui de sa consœur télévisuelle, France TV. Ailleurs, sur le plateau de BFMTV en l’occurence, interrogée par l’impayable Benjamin Duhamel, Clémentine Autain a elle aussi chaleureusement remercié les médias qui, face au danger que représenterait le RN, « ont changé de braquet » et ont ardemment contribué à la victoire du NFP. Cette gauche se croit décidément tout permis : l’écologiste Marie-Charlotte Garin, élue dans le Rhône, ne s’est pas gênée pour révéler ses visites réitérées dans une école primaire du 7ème arrondissement de Lyon et exhiber devant la presse, comme si cela allait de soi, une fresque fabriquée par des bambins de 6 à 9 ans très en avance sur leur âge. « Vous êtes la meilleure députée », ont écrit les uns, tandis que d’autres ont gribouillé, sans l’aide de leur maîtresse, paraît-il, d’éloquents messages pour « combattre le RN » et en finir avec « les racistes et les fascistes ». Cette calamiteuse anecdote confirme au passage que l’école n’est définitivement plus le lieu de la transmission des savoirs mais bien celui du bourrage de crâne idéologique.
Les « antiracistes » triomphent
Il paraît que, depuis quelque temps, la « parole raciste se libère ». Rokhaya Diallo a récemment corroboré cette impression. Sur le plateau de BFMTV, face à un Charles Consigny atterré et un Manuel Bompard conciliant, la journaliste woko-racialiste a en effet estimé qu’il y avait trop de Blancs – ou, pour le dire à sa manière, « pas assez de personnes non-blanches » – sur la première photo de famille du NFP. Elle a été « éblouie » par tant de blanchité étalée. La victoire du NFP – qui vaut, aux yeux de Mme Diallo, soumission aux thèses racialistes et diversitaires qu’elle promeut, et lui permet de tenir éhontément des propos racistes sur un plateau télé – devrait accentuer le sentiment anti-français qui corrompt les rangs de la gauche et de l’extrême gauche, ainsi que le racisme anti-Blanc qui croît dans notre pays et dont Mme Diallo se moque comme elle se moque de Charles Consigny, ce « pauvre petit chou » qui ose s’opposer à sa conception raciale de la société. Entre les deux tours des élections, dans The Guardian cette fois, Rokhaya Diallo n’a pas manqué de comparer, comme c’est original, le RN au « régime collaborationniste de Vichy », et de louanger, comme c’est bizarre, LFI et sa « position claire contre l’islamophobie dans un contexte où l’hostilité envers les musulmans en France est normalisée (sic) ». L’article est globalement une lourde charge contre la France – Mme Diallo est coutumière du fait. Cette militante woke n’aime pas la France, ce « pays très vieux, très lent à bouger et très petit dans le monde » dans lequel une « vieille élite blanche ne supporte pas de voir ses privilèges lui échapper » (Libération, 26 octobre 2010). Elle qui n’avait déjà pas sa langue vénéneuse dans la poche, profite de la victoire du NFP sous la férule de LFI pour libérer totalement sa parole et laisser apparaître, sous le vernis de l’antiracisme politique, un racisme anti-blanc plus ou moins maquillé. Sur Sud Radio, André Bercoff a demandé à ses auditeurs d’envisager ce qui se serait passé si quelqu’un avait déclaré dans les médias que la photo de l’équipe de France de football est « un peu sombre ». Imaginez les cris d’orfraie que la gauche politico-médiatique aurait poussés si cette même personne avait affirmé, hilare, que cette photo lui a « obscurci » la vue ! Dans le cas présent, wokisme oblige, Mme Diallo a pu tenir un propos raciste sans avoir à subir les foudres des ligues antiracistes ou de la gauche bien-pensante.
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La parole raciste se libère également du côté de Mediapart qui n’hésite pas à publier un article intitulé « Malgré des efforts à gauche, l’Assemblée reste blanche, bourgeoise et éloignée de la société mobilisée (sic) » dans lequel les journalistes comptent les « député.es racisé.es » de chacune des formations politiques. Aucun journaliste moralisateur du Monde, de Libération, de La Croix ou de l’audiovisuel public n’a trouvé à redire à ce racisme décomplexé. Dans Le Figaro, Michaël Sadoun relève en revanche cette donnée « symptomatique de la métamorphose de la gauche », à savoir, conséquemment à un accueil débridé des théories racialistes issues des universités et des associations antiracistes américaines, la tentation d’appliquer en France une discrimination positive officielle en faveur des « non blancs » dans les lieux de savoir et de pouvoir et, donc, de juger « les personnes selon leur appartenance plutôt que sur leur mérite », le but étant bien sûr de remplacer autant que faire se peut tous ceux qui sont considérés par les idéologues wokes et les islamistes comme des dominants et des privilégiés : les Blancs et les « super-Blancs » (les Juifs). Sur la scène de ce théâtre lugubre, Mme Diallo et l’extrême gauche jouent la même pièce révolutionnaire, racialiste (et raciste), antisioniste (et antisémite), immigrationniste et multiculturaliste. Côté cour, la nomenklatura bruxelloise, toujours empressée de mettre au pas les peuples qui ne veulent pas mourir, applaudit et préconise plus d’immigration tout en laissant – quand elle ne l’épaule pas – l’islam politique s’installer sur le continent. Côté jardin, les Frères musulmans rient dans leurs barbes en regardant ce spectacle et en se préparant à entrer définitivement en scène. Ils savent que la France est à l’agonie et que plus rien ne pourra la sauver. Trop d’ennemis se sont liés contre elle depuis un demi-siècle. Les ennemis de l’intérieur lui ont d’ailleurs fait le plus grand mal – mal sournois, incurable, inoculé au nom de « valeurs républicaines et démocratiques » dévoyées, derniers oripeaux moraux d’une gauche décharnée qui continue pourtant d’imposer sa loi destructrice. Et de nous pousser, inéluctablement, vers l’abîme.
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