Environnement : Entre 2000 et 2022, 28 catastrophes naturelles recensées au Sénégal ont impacté 3 millions d’habitants et fait 450 morts
Le Sénégal a connu 28 catastrophes naturelles entre 2000 et 2022, affectant environ 3 millions de personnes et causant au moins 450 morts, a révélé mardi à Dakar le ministère des Finances et du Budget, nous informe l’APS.
« Les données historiques montrent qu'entre 2000 et 2022, 28 catastrophes naturelles ont été recensées au Sénégal, touchant environ 3 millions de personnes et entraînant au moins 450 décès », a déclaré Alioune Ndiaye, conseiller technique du ministre des Finances et du Budget.
Parmi les catastrophes de cette période, M. Ndiaye a mentionné la sécheresse de 2002, qui a entraîné des pertes de production agricole d'environ 120 millions de dollars US, soit 1,7 % du produit intérieur brut (PIB) du pays.
Selon nos confrères, M. Ndiaye s'exprimait lors de l'ouverture d'un atelier sur le « financement des risques climatiques et des catastrophes au Sénégal », où il a également cité les inondations de 2009 parmi les catastrophes naturelles enregistrées entre 2000 et 2022.
« Ces inondations ont causé des pertes et dommages estimés à 104 millions de dollars US, soit 0,6 % du PIB du Sénégal », a-t-il indiqué.
« Les pertes et dommages liés à ces phénomènes climatiques pourraient s’aggraver, notamment pour nos pays vulnérables au changement climatique, en raison de la recrudescence des événements extrêmes, comme les vagues de chaleur et les inondations », a averti M. Ndiaye.
Des représentants de la Banque mondiale et du Global Shield participent à cet atelier consacré au « financement des risques climatiques et des catastrophes au Sénégal ».
Le Global Shield est une initiative lancée lors de la 27e conférence des Nations unies sur le climat en 2022 pour aider les populations à financer les impacts du réchauffement climatique.
« Cet atelier s’inscrit dans la dynamique des nouvelles autorités du pays de créer un espace de rencontres et d’échanges entre l’État et ses partenaires sur des questions d’intérêt national, en vue d’une transformation systémique du Sénégal », a conclu Alioune Ndiaye
Parmi les catastrophes de cette période, M. Ndiaye a mentionné la sécheresse de 2002, qui a entraîné des pertes de production agricole d'environ 120 millions de dollars US, soit 1,7 % du produit intérieur brut (PIB) du pays.
Selon nos confrères, M. Ndiaye s'exprimait lors de l'ouverture d'un atelier sur le « financement des risques climatiques et des catastrophes au Sénégal », où il a également cité les inondations de 2009 parmi les catastrophes naturelles enregistrées entre 2000 et 2022.
« Ces inondations ont causé des pertes et dommages estimés à 104 millions de dollars US, soit 0,6 % du PIB du Sénégal », a-t-il indiqué.
« Les pertes et dommages liés à ces phénomènes climatiques pourraient s’aggraver, notamment pour nos pays vulnérables au changement climatique, en raison de la recrudescence des événements extrêmes, comme les vagues de chaleur et les inondations », a averti M. Ndiaye.
Des représentants de la Banque mondiale et du Global Shield participent à cet atelier consacré au « financement des risques climatiques et des catastrophes au Sénégal ».
Le Global Shield est une initiative lancée lors de la 27e conférence des Nations unies sur le climat en 2022 pour aider les populations à financer les impacts du réchauffement climatique.
« Cet atelier s’inscrit dans la dynamique des nouvelles autorités du pays de créer un espace de rencontres et d’échanges entre l’État et ses partenaires sur des questions d’intérêt national, en vue d’une transformation systémique du Sénégal », a conclu Alioune Ndiaye