« Le bleu n’abîme pas » : comme un fidèle autoportrait d’Anouk Schavelzon
Anouk Schavelzon, dans Le bleu n’abîme pas, a pour héroïne une jeune métisse à sa ressemblance qui va apprendre, pas à pas, la dure réalité de l’exotisation du corps féminin racisé, encore le plus souvent considéré comme l’objet des plus troubles fantasmes.