L’union anticasse des Duralex
Depuis le 1ᵉʳ août, les salariés du fabricant de verres sont actionnaires majoritaires de leur entreprise. Poussé au bord de la faillite par la concurrence chinoise, l’inflation et des précédents propriétaires peu scrupuleux, ce fleuron industriel français a été sauvé grâce à l’alliance entre les ouvriers et le directeur et à l’entente transpartisane d’élus de gauche et de droite. La suite dépend désormais de la capacité de la marque à se réinventer.