«Il ne peut y avoir de démocratie sans État de droit» : Bruno Retailleau rectifie le tir après sa sortie critiquée
En déclarant que «l’État de droit, ça n’est pas intangible ni sacré», le ministre de l’Intérieur avait provoqué une levée de boucliers de la gauche mais aussi d’une partie du camp présidentiel.