Le jour où Joséphine, de Montigny-en-Gohelle, devint l’ange gardien des aidants
La référence est facile. Juste, pourtant. «Oui, certains m’appellent Joséphine ange gardien, c’est vrai… Mais je suis plus grande qu’elle!» Éternel sourire aux lèvres, comme une lumière à peine floutée par cette réserve propre à la pudeur, de celles qui s’excusent de trop exister, Joséphine a la blague facile. Et les yeux qui brillent dans ce petit bureau de l’association qu’elle ne quitte p...