Guillotiné en 1957, après le meurtre d’un policier, le pénitent Jacques Fesch n’est pas réhabilité
C’est un cas unique dans l’histoire judiciaire française : Jacques Fesch, guillotiné pour le meurtre d’un policier en 1957, pouvait-il, à l’aune de son expiation, voir son honneur rétabli ? La Cour de cassation a dit non.