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80 ans de L’Éveil de la Haute-Loire : les lecteurs racontent le lien avec "leur" journal

« Je connais L’Éveil depuis plus de 79 ans et demi. En mai 1945, alors enfant, je lisais à haute voix, sans comprendre grand-chose, l’édition de L’Éveil du dimanche à laquelle mes parents agriculteurs étaient abonnés. Ensuite engagé dans le syndicalisme, L’Éveil a été pour moi un outil important pour toucher le plus grand nombre possible de lecteurs avec des articles et annonces. Aujourd’hui retiré des affaires, je me contente, (au double sens du vocable) de lire quotidiennement le journal local : L’Éveil est un quotidien qui en vaut bien d’autres ! C’est “Le Monde” de la Haute-Loire, appréciation flatteuse, à peine excessive. Son contenu varié et riche nous informe sur de nombreux sujets […]. Longue vie à L’Éveil. » 

Roger Chaleil (Le Puy)

« Votre appel a réveillé beaucoup de souvenirs. Je suis contente d’acheter L’Éveil tous les jours, un quotidien que je lis à la suite de mes parents pour qui le journal constituait la seule lecture. J’y trouve beaucoup de sujets intéressants concernant la vie locale, les campagnes environnantes, les traditions et les fêtes dans nos villages. J’apprécie les belles histoires que l’on découvre au fil des pages. Je suis très attachée à ce journal, merci et continuez comme ça. » 

Thérèse Perre (Aiguilhe)

« J’ai connu l’entreprise L’Éveil en 1994, année de son cinquantième anniversaire, en qualité d’expert-comptable, prenant cette année-là la succession de mon prédécesseur Louis Charbonnier. Je garde un souvenir ému de ces années délicieuses de rencontres, d’histoire, de culture régionale et départementale échangées avec des hommes comme Louis Rabaste et d’autres qui ont fait perdurer la singularité de ce journal de la PQR qui, a l’époque, n’avait qu’un seul autre collègue du soir en France : La République des Pyrénées à Tarbes. L’Éveil avait un autre point commun avec ce “frère d’armes”, sa date de naissance en 1944… Louis Rabaste aimait raconter ses souvenirs de ses débuts laborieux, en ces temps de guerre et de privation, où le papier pour imprimer le journal était rare, et que les moyens les plus audacieux pour s’en procurer étaient autorisés […] Des articles toujours bien pensés et fidèles à l’esprit des échanges, la marque d’un journal qui fait de l’information « vraie » et qui laisse de la place dans ses colonnes pour exposer le bien et le beau et ne pas parler uniquement de ce qui ne va pas. » 

Fabrice Fricou (Le Puy)

« Tout d’abord : très heureux anniversaire L’Éveil. Nous avons presque le même âge ; j’ai un an de plus ! Pourquoi j’aime ce journal ? Les raisons sont diverses… Certaines sont intimes, d’autres tiennent à la qualité de ce quotidien, à la forte personnalité de M. Rabaste que j’avais un immense plaisir à écouter raconter… ! Au talent de ses journalistes. Je t’embrasse L’Eveil. » 

André Berger (Le Puy)

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