Metz. Violences conjugales : quand les victimes demandent un droit de visite
La protection de l’intégrité physique et psychologique d’une victime doit-elle prévaloir sur sa liberté de mener sa vie personnelle comme elle l’entend ? C’est la question que soulève l’histoire de cette jeune femme de 28 ans, dont le compagnon est incarcéré pour, notamment, des faits de violences conjugales à son encontre qu’elle conteste. Le parloir qu’elle demandait lui a été refusé.