« La patrie perdue de Boualem Sansal », par Hélé Béji
L’écrivain, arrêté à son retour à Alger le 16 novembre, fait les frais d’un contresens fâcheux. Les polémiques dérisoires n’ont rien à voir avec son œuvre qui n’appartient ni à l’Orient ni à l’Occident. Ceux qui en font un héraut de leur fantasme de « civilisation » ne l’ont pas lu, pas plus que ceux qui l’accusent de trahison.