La loi martiale en Corée du Sud a réveillé le spectre des dictatures passées
Dans la nuit du 3 au 4 décembre, le président conservateur Yoon Suk-yeol a déclaré la loi martiale à la stupeur générale. Six heures plus tard, il a dû reculer, sous la pression populaire et celle de l’opposition. Une motion de destitution a été déposée au Parlement.