Avec la constellation de satellites IRIS2, l’Europe espère «maintenir ses capacités spatiales» face aux États-Unis et la Chine
La Commission européenne a signé ce lundi une concession avec le consortium SpaceRISE pour développer et exploiter la constellation de satellites en orbite basse IRIS2, un projet évalué à plus de 10 milliards d'euros. L’Europe peut-elle combler son retard dans ce domaine face aux États-Unis et à l’américain Space X ? Risque-t-elle d’être dépassée par la Chine ?Explications de Pacôme Révillon, président de Novaspace, principal cabinet de conseil européen dans le secteur spatial.