Volontariat associatif : L'association «Mon Afrique a des rêves» au chevet des populations du Nord
Initiée en 2019, l’association « Mon Afrique a des rêves» apporte, depuis sa création, une assistance humanitaire aux populations du Nord du Sénégal, où elle a fait des réalisations importantes sur le plan sanitaire, social et éducatif. Oulèye Bâ, la présidente et fondatrice de cette association caritative, ambitionne d’en faire à l’avenir, une fondation.
L’association «Mon Afrique a des rêves», créée il y a quatre ans, a pour objectif, entre autres, de participer au développement du Sénégal en particulier et de l’Afrique en général, à travers notamment, le développement sportif de la jeunesse, l’entrepreneuriat féminin, l’accès à l’eau et la sensibilisation pour une déclaration dès la naissance de l’enfant par les parents.
Sur ce qui a été fait comme réalisation dans le Fouta (Nord du Sénégal), la présidente Oulèye Bâ a souligné qu’au village de Lobaly, des nébuliseurs et des aspirateurs ont été mis à la disposition des populations, durant la pandémie de Covid-19. En plus de l’aide sanitaire, le village de Lobaly a, en outre, bénéficié de latrines, d’une petite mosquée et d’un abreuvoir au niveau de son louma. Toujours, selon la fondatrice de «Mon Afrique a des rêves», à Ourossogui, l’association, en partenariat avec la fondation Orange, a mis sur pied une maison digitale équipée en ordinateurs et tablettes, pour l’appui des femmes de la localité. Grâce à cette œuvre, les femmes bénéficient de formations en informatique et sont aidées à élaborer, elles-mêmes, leur business plan.
Le domaine sportif n’est pas en reste. A Podor, des maillots, des ballons et d’autres équipements, ont été offerts. A Saint-Louis, une école de football a bénéficié d’un accompagnement de la structure. Le but de ces actions dans le domaine du sport est, selon la présidente-fondatrice, de permettre aux jeunes de s’épanouir.
L’association dirigée par Oulèye Bâ, ne se limite cependant pas uniquement au financement de projets. Elle intervient également en tant que facilitatrice, comme c’était le cas à Boynadji. «Au niveau de Boynadji, on a construit des puits pour aider les populations. Mais là, on n’a pas été bailleur. On a plutôt joué le rôle de facilitateur», fait savoir, humblement, Oulèye Bâ, qui lance un appel «aux bonnes volontés, qui souhaitent faire des actions bénévoles mais qui ne peuvent pas se déplacer», à entrer en contact avec son association, qui pourrait leur servir de facilitatrice.
La fondatrice de «Mon Afrique a des rêves» qui espère voir sa structure devenir un jour une fondation, a également souligné qu’en France, elle est impliquée dans les démarches administratives des Sénégalais qu’elle accompagne pour l’obtention de documents tels que le passeport, la pièce d’identité, la transcription, etc.
Abou Kane
Sur ce qui a été fait comme réalisation dans le Fouta (Nord du Sénégal), la présidente Oulèye Bâ a souligné qu’au village de Lobaly, des nébuliseurs et des aspirateurs ont été mis à la disposition des populations, durant la pandémie de Covid-19. En plus de l’aide sanitaire, le village de Lobaly a, en outre, bénéficié de latrines, d’une petite mosquée et d’un abreuvoir au niveau de son louma. Toujours, selon la fondatrice de «Mon Afrique a des rêves», à Ourossogui, l’association, en partenariat avec la fondation Orange, a mis sur pied une maison digitale équipée en ordinateurs et tablettes, pour l’appui des femmes de la localité. Grâce à cette œuvre, les femmes bénéficient de formations en informatique et sont aidées à élaborer, elles-mêmes, leur business plan.
Le domaine sportif n’est pas en reste. A Podor, des maillots, des ballons et d’autres équipements, ont été offerts. A Saint-Louis, une école de football a bénéficié d’un accompagnement de la structure. Le but de ces actions dans le domaine du sport est, selon la présidente-fondatrice, de permettre aux jeunes de s’épanouir.
L’association dirigée par Oulèye Bâ, ne se limite cependant pas uniquement au financement de projets. Elle intervient également en tant que facilitatrice, comme c’était le cas à Boynadji. «Au niveau de Boynadji, on a construit des puits pour aider les populations. Mais là, on n’a pas été bailleur. On a plutôt joué le rôle de facilitateur», fait savoir, humblement, Oulèye Bâ, qui lance un appel «aux bonnes volontés, qui souhaitent faire des actions bénévoles mais qui ne peuvent pas se déplacer», à entrer en contact avec son association, qui pourrait leur servir de facilitatrice.
La fondatrice de «Mon Afrique a des rêves» qui espère voir sa structure devenir un jour une fondation, a également souligné qu’en France, elle est impliquée dans les démarches administratives des Sénégalais qu’elle accompagne pour l’obtention de documents tels que le passeport, la pièce d’identité, la transcription, etc.
Abou Kane