PHOTOS. Plusieurs milliers de personnes rassemblées place de la République à Paris en soutien aux réfugiés
IMMIGRATION - "Pas en notre nom": plusieurs milliers de personnes se sont réunies samedi après-midi à Paris pour un rassemblement de soutien aux réfugiés, à la suite d'un appel citoyen lancé sur les réseaux sociaux, a constaté une journaliste de l'AFP.
"Ouvrez les frontières!", "Droit d'asile pour toute personne persécutée" ou encore "L'accueil pour moi c'est oui", pouvait-on lire sur des pancartes arborées par les manifestants, de tous âges et parfois venus en famille.
D'autres brandissaient la photo du petit Aylan Kurdi, un Syrien de trois ans retrouvé mort sur une plage de Turquie, une image qui a fait la une de nombreux quotidiens à travers le monde, suscitant une grande émotion.
"Pas en notre nom"
"J'en ai marre que les gens aient peur", a témoigné une participante, Véronique Wattiaux, 60 ans. "La société c'est un brassage permanent. Je veux représenter ceux qui sont pour l'accueil."
Ce rassemblement, intitulé "Pas en notre nom - #RéfugiésMigrantsDignité", "est né d'une discussion sur Facebook, de gens qui se demandaient comment faire pour exprimer quelque chose spontanément (...) dire non aux politiques migratoires répressives qui conduisent à la mort de milliers de personnes et oui à l'accueil", a expliqué à l'AFP l'un des organisateurs, l'auteur et réalisateur Raphaël Glucksmann, fils du philosophe André Glucksmann.
L'appel sur Facebook de ce collectif citoyen a été relayé par plusieurs associations, comme SOS Racisme ou la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra).
Des représentants de partis de gauche, socialistes, communistes et écologistes, avaient annoncé leur intention de se joindre à la manifestation. Des initiatives similaires sont annoncées ce week-end dans plusieurs villes de province.
"Ouvrez les frontières!", "Droit d'asile pour toute personne persécutée" ou encore "L'accueil pour moi c'est oui", pouvait-on lire sur des pancartes arborées par les manifestants, de tous âges et parfois venus en famille.
Du monde à République à Paris mais c'est loin d'être assez. De beaux messages de #SolidariteAvecLesRefugies pic.twitter.com/0DzO1dXbNU
— J-F Julliard (@jfjulliard) 5 Septembre 2015#Réfugiés : la Place de la République à Paris emplie d'une vague de solidarité pour les réfugiés / @LeNouvelObs pic.twitter.com/hJhkLTXond
— Louis Witter (@LouisWitter) 5 Septembre 2015#pasenmonnom ils sont déjà des centaines place de la #republique à paris pic.twitter.com/aMtyl4oDnc
— Baptiste Mathon (@BaptisteMathon) 5 Septembre 2015Manifestation de soutien aux #réfugiés. Sous la pluie, place de la République à Paris, la foule est clairsemée. pic.twitter.com/ygEFugQK7C
— Jérôme Godefroy (@jeromegodefroy) 5 Septembre 2015D'autres brandissaient la photo du petit Aylan Kurdi, un Syrien de trois ans retrouvé mort sur une plage de Turquie, une image qui a fait la une de nombreux quotidiens à travers le monde, suscitant une grande émotion.
"Pas en notre nom"
"J'en ai marre que les gens aient peur", a témoigné une participante, Véronique Wattiaux, 60 ans. "La société c'est un brassage permanent. Je veux représenter ceux qui sont pour l'accueil."
Ce rassemblement, intitulé "Pas en notre nom - #RéfugiésMigrantsDignité", "est né d'une discussion sur Facebook, de gens qui se demandaient comment faire pour exprimer quelque chose spontanément (...) dire non aux politiques migratoires répressives qui conduisent à la mort de milliers de personnes et oui à l'accueil", a expliqué à l'AFP l'un des organisateurs, l'auteur et réalisateur Raphaël Glucksmann, fils du philosophe André Glucksmann.
L'appel sur Facebook de ce collectif citoyen a été relayé par plusieurs associations, comme SOS Racisme ou la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra).
Des représentants de partis de gauche, socialistes, communistes et écologistes, avaient annoncé leur intention de se joindre à la manifestation. Des initiatives similaires sont annoncées ce week-end dans plusieurs villes de province.
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