Dans la tête d’un complotiste
Le cinéaste américain Jay Weidner s'est d'abord intéressé aux « petites choses illogiques ». Vingt-cinq ans plus tard, son goût pour le mensonge s'est mué en une « question de vie ou de mort ».
Le cinéaste américain Jay Weidner s'est d'abord intéressé aux « petites choses illogiques ». Vingt-cinq ans plus tard, son goût pour le mensonge s'est mué en une « question de vie ou de mort ».