Новости по-русски

Après Orlando, la communauté LGBT ne doit pas se laisser instrumentaliser

Pour l'instant, il y a deux manières de commenter ce qu'il s'est passé cette nuit au club Pulse d'Orlando. La première, évidente, c'est la surprise et l'effroi quand on se réveille et qu'on découvre sur Twitter le chiffre de vingt décès et des dizaines de blessés qui, quelques heures à peine après, atteint le chiffre de cinquante morts et autant de blessés. Le triste de record de «pire fusillade» de l'histoire récente des États-Unis concerne donc la communauté homosexuelle.  Déjà, sur Facebook et ailleurs, les gens disent «Vous voyez ce que c'est d'appartenir à une minorité sexuelle» faisant le lien avec les assassinats continuels de personnes trans à travers le monde, largement peu relayés par les médias. Omar Saddiqui Mateen vient de voir deux hommes s'embrasser, deux jours après il déverse son immense homophobie en tirant de près sur des gays, dans le noir. Il faut beaucoup de rage ou de folie pour s'armer et se diriger vers le club gay le plus proche, dans un acte de vengeance qui ressemble beaucoup à ce qu'il s'est passé au Bataclan le 13 novembre dernier. Ça s'est passé la veille de la Gay Pride de la ville.  Compassion et communication La première réponse évidente, c'est la compassion manifestée partout par les leaders gays, les politiques et les chefs d'État. Orlando, tuerie exceptionnelle, va devenir le symbole de l'homophobie de tous les jours. Oui, l'homophobie régresse dans cer ... Lire la suite

Читайте на 123ru.net