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L’empoisonneuse de Palerme, la femme qui créa le plus meurtrier des poisons

L’empoisonneuse de Palerme, la femme qui créa le plus meurtrier des poisons
À l’aube de l’automne 1791, alors qu’il travaillait sans relâche sur le requiem qui allait tant contribuer à sa légende, Wolfgang Amadeus Mozart tomba gravement malade. Convaincu qu’il n’avait aucune chance de survivre, il commença à disserter sur la mort et affirma qu’il écrivait le Requiem pour lui-même. «J’ai clairement la sensation qu’il ne me reste plus longtemps à vivre; je suis sûr qu’on m’a empoisonné. Je n’arrive pas à me défaire de cette idée… Quelqu’un m’a donné de l’acqua tofana et a calculé l’heure exacte de ma mort.» Les scientifiques bataillent depuis maintenant près de deux siècles pour découvrir les circonstances de la mort du compositeur. Certains d’entre eux ont conclu qu’il avait bel et bien été assassiné. Mais la plupart penchent en faveurs d’autres diagnostics, suggérant qu’il mourut de la syphilis, d’une forme grave de rhumatismes, voire même des effets mortels d’une surconsommation de côtes de porc pas assez cuites… Quoi qu’il en soit, Mozart était quant à lui absolument persuadé d’avoir été empoisonné. Par un produit rare, incolore, inodore, dénué de goût, impossible à détecter, et dont les pouvoirs mortifères étaient si puissants qu’une dose bien calculée pouvait garantir la mort d’une victime une semaine, un mois, voire un an après l’ingestion. >> Lire l'intégralité de l'article gratuitement sur Ulyces.​ Le compositeur n’était ... Lire la suite

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