Bernie Sanders et Hillary Clinton ne fument pas encore le calumet de la paix
Les primaires démocrates étant terminées, le sénateur «socialiste» du Vermont n’a pas encore concédé sa défaite et apporté son soutien à sa rivale Clinton. Son double jeu agace et menace l’unité du parti. Le sénateur s’en défend, voulant utiliser le levier des primaires (12 millions de votes) pour avoir son mot à dire à la convention de Philadelphie en juillet