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Le métier le plus ennuyant des JO? Sauveteur au bord de la piscine olympique

On n’y pensait pas. Après tout, pourquoi un nageur ou une nageuse suffisamment doués pour participer aux Jeux olympiques auraient-ils besoin de personnes supplémentaires pour s’assurer que tout se passe bien? Les entraîneurs, les camarades et les lignes entre chaque couloir ne suffisent-ils pas à empêcher tout drame? Non, si l’on en croit le New York Times, qui explique que le métier de sauveteur est très important lors de la compétition, qui en a embauché 75 pour l’occasion. Peu de chance de les voir courir au ralenti façon «Alerte à Malibu» Anderson Fertes, 39 ans, raconte en souriant au journal qu’il aimerait être celui qui pourra secourir le champion Michael Phelps en cas d’incident: «Je rêve de cette possibilité. J’y pense. C’est un événement qui a une chance sur un million de se produire, mais nous sommes préparés.» Et effectivement, leur présence au bord des bassins semble très peu utile. «Ils n’ont jamais utilisé leur sifflet, écrit le New York Times qui a assisté à un entraînement. Ils n’ont jamais crié après les sportifs pour leur demander d’arrêter de courir près du bassin. Ils n’ont jamais sourcillé, ni même senti leur cœur batte plus vite lors d’une soudaine possibilité (est-elle toujours sous l’eau?) qu’une personne ait besoin d’être sauvée.» D’ailleurs, aucun nageur n’a eu besoin d’être secouru dans l’histoire des Jeux.  Pourtant, quand on y réfléchit, leur ... Lire la suite

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