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Quand la Turquie parle de démocratie, l'Occident entend «démocrature»

Quand la Turquie parle de démocratie, l'Occident entend «démocrature»
«Si le coup d’État avait réussi, aucun de nous quatre ne serait encore en vie aujourd’hui.» Avec trois autres parlementaires, le député du parti turc AKP Hasan Karal, proche du président Recep Tayyip Erdogan, est à Paris pour raconter cette nuit du 15 juillet durant laquelle l’un a perdu son camarade de lycée, l’autre a vécu le bombardement du Parlement où il s’était réfugié et le dernier s’est caché chez un ami membre du parti après avoir pris soin de «débloquer la sécurité de [son] revolver». Hasan Karal fut l’un des premiers au courant de ce qu’il se passait. Il a, raconte-t-il, «immédiatement téléphoné au responsable de la sécurité» du président turc. «Nous sommes en train de transférer le président dans un autre endroit, lui a répondu un garde du corps paniqué. Grâce à Dieu, aidez-nous!» Finalement, «en six heures de temps, on est venus à bout de cette tentative de coup d’Etat, rappelle son collègue de l'AKP Hazi Ozcan. En pleine unité, le peuple a prouvé à quel point il était attaché à la démocratie, à la patrie et au drapeau». Encore sous le choc, les quatre députés accusent les gülénistes (les fidèles de l’imam Gülen, auto-exilé aux Etats-Unis depuis 1999) d’être derrière ce putsch. (3/3) Nos parlementaires ont expliqué le lien des putschistes avec le mouvement Gülen. pic.twitter.com/G6mC02OLnp — TurkishEmbassyParis (@TurquieParis) 4 août 2016 «Le coup d’Etat ... Lire la suite

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