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Face au terrorisme, je n'ai pas de certitudes, que des questions

Face au terrorisme, je n'ai pas de certitudes, que des questions
Face au terrorisme, la réponse du gouvernement semble désormais inadaptée. L’Etat a décrété l’état d’urgence. Sans vouloir faire de la psychologie de comptoir, ces mots ont une signification: l’Etat agit en urgence, faute de savoir quoi faire. Nous voyons bien qu’il improvise. Il arrête trois écolos durant la COP 21 mais ignore les casseurs quelques semaines après. Certaines manifestations publiques sont interdites, d’autres, malgré la casse et les violences, tolérées. Et les tueurs frappent ailleurs. Depuis janvier 2015, on ne compte plus les morts, encore moins les blessés. Dans une démocratie bien élevée, le ministre de l’Intérieur aurait démissionné depuis longtemps. Entre poèmes et chamailleries, la sidérante nullité de la classe politique L’état d’urgence est un n’importe quoi institutionnel, doublé de mesures attentatoires aux libertés dont rien ne prouve qu’elles servent à quelque chose. Pour s’occuper, le gouvernement enchaîne deuils nationaux et débats parlementaires stériles. Rien à attendre de ce côté-là. En face, l’opposition se distingue par une surenchère grotesque du tout sécuritaire dont la seule logique semble être l’obsession maladive de capter l’attention indignée des réseaux sociaux et des médias. La distribution de lance-roquettes n’est qu’un hors d’œuvre: d’autres idées (sic) surgiront, dans un concours Lépine version Robocop mal digéré. Ainsi se prépare ... Lire la suite

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