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Les JO, un symptôme de plus du drame mexicain

Les JO, un symptôme de plus du drame mexicain
Mardi 16 août, le président du Mexique Enrique Peña Nieto s'en est pris à ceux qui «inondent le pays de mauvaises nouvelles», et à appelé à privilégier les «bonnes […] qui ont un impact positif sur la vie quotidienne». Il avait forcément en tête cette nouvelle affaire de conflit d'intérêt qui vient chahuter sa présidence: selon une enquête du Guardian, publiée le 9 août et qui a fait grand bruit au Mexique, son épouse, l'ex-actrice de telenovelas Angelica Rivera, jouit d'un luxueux appartement à Miami, acheté par le groupe de Ricardo Pierdant Grunstein, ami du couple présidentiel. Rivera se trouverait en récidive: en novembre 2014, elle avait assuré être la propriétaire de la «Maison Blanche», ce somptueux logement estimé à six millions d'euros qui avait été édifié par une entreprise appartenant au Grupo Higa, constructeur favori d'Enrique Peña Nieto quand il était gouverneur de l'Etat de Mexico (2005-2011). Corruption et violence. Le Mexique ne s'en sort pas, comme aspiré dans une spirale infernale depuis le début de la guerre contre les cartels, en 2009, qui a fait plus de 150.000 morts. Lundi dernier, l'enlèvement de douze personnes par un commando armé parmi lesquels se trouvait un fils d'El Chapo Guzman a conduit à nouveau le Mexique à faire la une à l'international pour de mauvaises raisons. Les «bonnes nouvelles» qu'Enrique Peña Nieto chérit et désire tant se font attendre. Et elles ne sont pas vraiment venues de ... Lire la suite

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