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Parlons un peu d’amour avec The Divine Comedy (on en a bien besoin)

Un nouvel album de The Divine Comedy est toujours une bonne nouvelle pour les amoureux de la pop. Depuis 1989, Neil Hannon cisèle ses mélodies pour embellir ou briser le cœur de ses auditeurs (souvent en même temps d’ailleurs). À l’occasion de la sortie de Foreverland, son onzième album studio, j’ai eu envie d’avoir une discussion à bâton rompu avec la tête pensante de The Divine Comedy pour parler de ce qui l’agite en ce moment. Au fil des années, Neil Hannon s’est évertué à parler des différentes étapes des relations amoureuses ou des états d’âmes qui peuvent agiter n’importe quel être humain un tant soit peu porté sur l’introspection. Mais cette fois quelque chose est différent. Par-delà ses histoires bizarres et tordues, l’Irlandais semble heureux, serein, solaire. Et toujours blagueur à froid. Neil Hannon et son projet The Divine Comedy nous avaient habitué à des histoires d’amour étranges. Mais le morceau, «Catherine the Great», qui accompagne la sortie du nouvel album est présenté comme l’histoire d’amour la plus historiquement inexacte ou comme «le genre d’histoire d’amour que vous écrivez si vous regardez trop BBC Four». Toujours mutin et pince sans-rire Neil Hannon avoue passer des heures à regarder de nombreux documentaires aux angles tordus sur les transports, les infrastructures ou bien les Shetlands : «C’est le genre de choses qui passaient à ... Lire la suite

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