Etel. François Malette a connu la voile puis le moteur
Fils d’un patron pêcheur, François a toujours rêvé de prendre la mer. « Après-guerre, le port d’Etel était plein de dundees (thoniers à voile), il y en avait jusqu’à 150 par jour. Ça créait une activité incroyable. Il y avait du travail pour tout le monde, en mer et dans les ateliers de mécanique...