Ghizlane Chebbak, capitaine de l’équipe féminine marocaine se confie sur l’arrivée de Jorge Vilda en tant que sélectionneur
La capitaine de l’équipe nationale et ambassadrice de la Coupe du monde 2030, Ghizlane Chebbak, s’est entretenu à The Objective. Elle est notamment revenue sur l’adaptation de l’entraîneur champion du monde avec les espagnols, Jorgé Vilda arrivé l’été dernier.
Sept mois viennent de s’écouler depuis que Jorge Vilda, sélectionneur champion du monde avec l’Espagne l’été dernier, a signé avec l’équipe féminine du Maroc. Les performances sont encourageantes malgré une déception, la récente avec une défaite contre la Zambie ne leur permettant pas d’avoir un billet pour les Jeux de Paris. Ghizlane Chebbak (33 ans), capitaine de l’équipe féminine marocaine jouant depuis février dernier au Levante Las Planas, équipe de première division espagnole féminine, revient sur l’arrivée de l’entraineur espagnol. Et ses mots montrent une grande reconnaissance envers le nouveau sélectionneur, tant d’un point de vue professionnel que personnel.
“L’arrivée de Jorge Vilda dans la sélection a apporté une nouvelle dynamique et une réelle fraîcheur. Il est reconnu pour sa compétence et son expérience dans le football, ce qui est un avantage pour l’équipe. Il est toujours intéressant de voir comment un nouvel entraîneur peut influencer le jeu et le développement de l’équipe nationale”, voilà les mots de l’expérimentée milieu de terrain marocaine. L’adaptation semble donc réussie pour le coach espagnol. Et elle ne s’arrête pas là en évoquant la chance d’avoir un entraîneur champion du monde tout en évoquant les limites.
Une réelle admiration
“C’est impressionnant d’être dirigé par un entraîneur champion du monde. Cela apporte une aura de succès et d’expérience à l’équipe, ainsi qu’une motivation supplémentaire pour atteindre de grands objectifs. Cependant, le succès passé ne garantit pas nécessairement le succès futur, c’est pourquoi l’accent est toujours mis sur le travail d’équipe et l’effort continu”. Comme Ghizlane Chebbak le dit si bien, rien n’est gagné et c’est seulement à force de travail que les marocaines arriveront à de grandes choses. Bonne chance mesdames.