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L'histoire tordue de l'auto-fellation

L'histoire tordue de l'auto-fellation
Bien avant d'être un expert sur quasiment toutes les choses du sexe, j'ai fait comme de nombreux jeunes garçons avant moi: mettre mon pénis dans un rouleau d'essuie-tout vide, et aspirer avec entrain l'extrémité du carton. Bon, ce n'est peut-être pas arrivé à tout le monde; le principe de succion me laissait relativement perplexe. Et aujourd'hui, cette histoire me gêne un peu, même si cela fait plus d'un an et que j'en sais maintenant bien plus sur la fellation. Ça va, calmez-vous, je rigole. Enfin, presque. J'ai vraiment tenté la chose, mais je devais avoir 12 ou 13 ans et, pour vous donner une meilleure idée du piteux état de mes connaissances sensuelles à l'époque, cela correspond à peu près à l'âge où, tout fier de moi, j'étais allé dire à ma sœur aînée qu'une «pipe» consistait à souffler délicatement sur l'anus d'autrui. Pour éviter des malentendus similaires, définissons précisément nos termes. L'auto-fellation, cette question que nous prenons aujourd'hui en main – ou plutôt, sans les mains –, consiste à mettre ses propres organes génitaux dans sa propre bouche et à en tirer un plaisir sexuel. La terminologie est ici importante, car il y a au moins une équipe de psychiatres ayant écrit sur le sujet qui distingue l'auto-fellation de l'«auto-irrumation». Dans le sexe non-solitaire, le gros de l'action d'une fellation vient de la personne qui suce, tandis que l'irrumation repose davantage sur son élément pénétra ... Lire la suite

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