« Je suis étranger à ce crime » : au procès de l’assassinat de Samuel Paty, l’interrogatoire sur le fil d’Abdelhakim Sefrioui
Se présentant comme un musulman « détestant les injustices » qui « intervient dès qu’il peut », Abdelhakim Sefrioui regrette « l’abomination » de l’assassinat. La question du blasphème plane cependant, tout comme le discours sur le séparatisme d’Emmanuel Macron, clairement attaqué par l’accusé.